Pourquoi les formations « gestion du stress » ne produisent-elles que peu d’effets ?
- 2 sept.
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De nombreuses entreprises investissent dans des formations à la gestion du stress. La qualité des contenus est souvent bonne. Les outils présentés sont issus de recherches sérieuses, parfois directement empruntés au milieu médical. Pourtant, les effets à long terme restent faibles.

La question mérite d’être posée : pourquoi ces formations produisent-elles si peu de changement réel ?
Une partie de la réponse tient à la nature même de ce qu’on cherche à transmettre. Réguler son stress, moduler ses réactions, ajuster sa posture mentale… ce sont des compétences. Pas des connaissances. Et comme toute compétence, cela ne s’apprend pas en écoutant une conférence ou en suivant une formation courte. Il ne s’agit pas d’une transmission de savoirs mais du développement de compétences. C’est très différent. C’est comme apprendre à nager ou à conduire, cela s’apprend en pratiquant, régulièrement et en conditions réelles.
C’est un élément central de notre approche et il change tout.
Au lieu de proposer un contenu dense sur une journée, nous avons conçu une approche progressive, centrée sur l’intégration dans la vie réelle. Il s’agit pas de formations ponctuelles et denses sur une journée mais de véritables accompagnements en groupe sur 8 semaines. Chaque semaine il y a une session en groupe de 2 heures et un entrainement individuel à réaliser entre les sessions.Cet entrainement, cette pratique en conditions réelles, est légère et souvent amusante. Nous ne demandons pas de trouver une demie heure par jour pour faire nos exercices ou reproduire des séances au calme, à la maison. Nous savons que c’est compliqué. Nous savons également qu’une pratique, même validée, même excellente mais qui n’est pas utilisée, faute de temps, ne sert pas à grand-chose.
Notre approche est paramétré pour s’insérer facilement dans des agendas chargés, mettre tout le monde à l’aise et en pour être à la fois rigoureux, stimulant et agréable à suivre et à pratiquer.
Les exercices que nous proposons sont validés par la recherche. Mais ce qui change tout, c’est la manière dont ils sont transmis et pratiqués : sous forme de micro-pratiques. Ces micro-pratiques sont de courts exercices intégrés dans les routines existantes, sans que du temps dédié ne soit nécessaire. Par exemple, à chaque fois qu’une impulsion nous pousse à regarder notre téléphone, nous marquons un temps d’arrêt : nous ajustons la respiration, la posture, ou nous repérons une sensation ou un détail agréable dans l’environnement.
Ce sont des gestes simples, répétables, sans effort supplémentaire ni temps dédié. Et c’est précisément ce qui leur donne leur efficacité : ils sont faisables. Donc ils sont faits. Et ce qu’on répète, on finit par l’intégrer.
Apprendre à réguler le stress, cela nécessite une autre pédagogie.
Et c’est là que l’approche Éclore fait la différence. Vous en saurez plus en suivant
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