Un premier pas essentiel pour aborder la question du
stress, du bien-être et du burn-out consiste à s'informer.
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Il m’a parlé de sa vie, de ce qu’il avait accompli. Ce n’est pas tous les jours que j’ai la chance de parler à un capitaine d’industrie. Le fondateur d’une entreprise multinationale. Et puis, au détour d’une phrase, il m’a confié ceci, avec naturel, comme une conviction tranquille : « J’aime sentir une agitation nerveuse autour de moi. Le stress est un stimulant puissant pour les équipes. » Je n’ai pas percuté sur le moment, mais cette phrase est restée.
Le smartphone est devenu la cigarette du 21e siècle : un geste réflexe, banalisé, omniprésent. Une banalisation qui n’est pas sans conséquences. Aujourd'hui, le smartphone agit comme un facteur de risque systémique, qui alimente à grande échelle les dynamiques de stress chronique et de burn-out.
La régulation du stress ne se résume pas à une transmission de savoir. Ce n’est pas une compétence que l’on acquiert en suivant une formation d’une journée. C’est une capacité qui se construit dans la durée, par l’observation de soi, par la pratique, par l’entraînement, par l’ajustement progressif de ses réponses face aux pressions du quotidien.